Science as a Self-Myth (2022- en cours)

Depuis 2022 je visite des centres de recherche entre la France et la Suisse, spécialisés en sciences dites “dures”.

Dans ces espaces cliniques et austères, j’ai été frappé de la présence systématique de formes dont la vocation n’était pas scientifique: des objets, des images, des gestes, jusqu’à des architectures, dont la vocation n’était pas de faire avancer la science, mais de la raconter.

J’ai alors entrepris d’explorer les modalités de ces formes et d’en interroger les enjeux: que nous disent ces choix de la place de l’individualité dans la science? Quel rôle la narration peut-elle jouer face à une perte de repères ?